Avant de vous lancer dans la lecture du contexte, quelques petites explications s’imposent.
Dans un souci de simplification et pour éviter d’avoir à mettre en place un réalisme historique aussi lourd que complexe, la décision a été prise de créer un empire, un monde et une ville fictive très fortement inspiré de la Rome Antique.
Nous gardons ici la culture, les coutumes, religions, le fonctionnement politique etc… tout en fait sauf les faits historiques, les dynasties etc. Vous comme moi n’étant pas historiens, j’ai pris le parti de fonctionner de la sorte pour offrir une expérience de jeu simplifiée sans s’embourber dans des considérations historiques. La culture et les coutumes antiques étant à mon sens un background suffisant.
Je vous laisse ici avec la lecture du contexte et des annexes qui vous permettrons de vous plonger au mieux dans notre univers.
Ave Moi !

« Le soleil pése avec lourdeur sur les peau moite. La foule hurle, les femmes ont les seins nues, grognant, feulants comme des chiennes, les hommes fous se battent et hurle, c’est un chaos, ils attendent, ils réclament le sang. En haut, sur l’éstrade, dominant de sa jeunesse éclatante, l’empereur fait tomber la sentance. Ce sera la mort. Les deux hommes dans l’arène ont un regard entendus, l’honneur fera gronder cette journée, pour le premier, l’honneur de rester invaincu, d’être le champion, d’entendre la foule aduler son nom, le scander comme un mantra guérrier. Il est un Dieu. Pour l’autre, l’honneur d’une mort honorable dans le sable de l’aréne, après un combat épique qui restera longtemps dans les mémoires, l’honneur de mourir entre les mains d’un frère qui lui offrira d’un coup de glaive le repos mérité. Le glaive fend l’air et la tête se détache du tronc, vole en l’air tandis que le soleil brille dans le sang en geiser. La foule se fend, devient folle, ils hurlent, ils repettent à l’unisson le nom de vainceur, brulant des festivités a venir, des orgies, des saoulerie, des femmes de petites vertues qu’on s’offrira. L’empereur a un sourire lourd, il regarde l’esclave qu’on prend pour un dieu avec des yeux lupins, il a faim de ce corps là et il pourra se l’offrir, rien ne lui est réfusé. »

Aurelia, ville prospére, épicentre de L’Empire le plus grand de l’Histoire. La ville trône au milieu de larges colines, c’est un ville de débauche, de violence, un ville d’art aussi. Sous la main de fer gantée de velour de L’Empereur Gaïus, la plébe comme le Sénat vie au rythme des Jeux et des Orgies, des coupes gorges au coin des rues. Les esclaves courbent l’échine, les maître s’enhardissent et s’enrichissent sur leurs dos marbré. Les prêtre sacrifient les taureau sur des autels des marbres et d’or pour appeler la pluie quand la secheresse s’éternise. Ici tout est questions d’honneur et de réputation pour ceux qui ont eu la chance de naître sans chaine. Pour les autres, on avance courbé en éspérant peut-être un jour avoir la Liberté. Les derniers, les gladiateurs, ne vivent que pour l’honneur du sang. Ils font partie de deux Ladius dont les Maitres se haïssent. Ce sera a qui mettra l’autre a terre sur le sable du colisée.
Dans les gorges de la villes, au Nord, dans les sous sols se cachent l’arène clandestines loin des considérations d’honneur, ce qu’on appelle La Fosse se voit être le théâtre de combats toujours à mort d’hommes et de femmes plus béstiaux les uns que les autres, des bruts venues des terres sauvages, des anciens militaires ayant perdus tout honneur, ici c’est la fange, la lie du peuple que s’entre-tue pour des paris.
Aurelia, ville de débauche et de sang.